Par Maurice Bourrut-Lacouture Charente Par Maurice Bourrut-Lacouture Charente

Bien qu’écrivant facilement et ne manquant pas d’idées, je ne participerai pas au « grand débat national ». Je me contenterai d’écrire pourquoi. Nos gouvernements connaissaient les problèmes soulevés par les gilets jaunes. Mais ils ne voulaient pas les voir et surtout n’avaient pas la volonté politique d’y remédier, espérant que cette situation durerait, et au risque de perdre des voix aux prochaines élections.

« Le grand débat » n’apportera rien de ce que l’on ne sache déjà et ne solutionnera rien des problèmes en cours… En attendant, cela passe du temps, motive réunions et palabres sans fin, brasse le vent. C’est de la démagogie ! Un artifice destiné à endormir la colère populaire… Et cela à quel coût ? Alors que nous n’avons plus de « pognon ».

Ce n’est pas au peuple de gouverner. Nous avons assez d’élus pour cela. Le gouvernement doit décider, gérer, faire acte d’autorité.

Il ne faut pas faire de référendum pour les mêmes raisons : coûts, inutilité, et verdict non suivi d’effet : Notre-Dame-des-Landes et autres…